Se martyriser le corps pour oublier les peines du cœur. Une philosophie qui ne laisse presque personne sans mots ni sans maux !
Les emos, est-ce que ce mot vous dit quelque chose? Il s’agit du phénomène le plus médiatisé du moment en Egypte.
Les emos sont estimés à des Centaines de fidèles au Caire. Ils se rencontrent dans les endroits branchés comme les malls et les grands cafés. Et puisque l’émotion est leur principale philosophie, rien n’est plus important pour eux que leur vie et leurs propres souffrances.
En effet, leur manière d’exprimer leurs émotions est totalement étrange : Automutilation, blessures différentes sur tout le corps (généralement les parties cachées) etc., voici la façon avec laquelle les emos extériorisent leurs souffrances et problèmes personnels. Photo: droits réservés
Selon la majorité des psychologues, Ces personnes ne sont pas normales du tout. Si leur philosophie leur dicte de se martyriser pour oublier les peines du cœur, la science n’a pas pu confirmer ce faux constat.
Certainement, le phénomène des emos est importé de l’occident.
N. 26 ans révèle : « J’ai vécu en Angleterre pendant treize ans, tous mes amis étaient des emos et on a vécu normalement. Mais quand je suis venu en Egypte, J’ai cessé d’être emo à cause des commentaires déplacés des gens »
Toutefois, beaucoup de personnes croient que tous les emos sont des homosexuels puisque ce courant veut que les fidèles se rapprochent et se fient aux personnes du même sexe. Car souvent, la peine vient du sexe opposé. C’est ce qu’affirme S. 28 ans : « Cette fausse idée sur les emos, je dois dire quelle est irrationnelle. Au début, l’idée de se rapprocher de la personne qui appartient au même sexe que nous, faisait allusion à l’amitié. Après cela, beaucoup d’homosexuels sont devenus des emos. Maintenant, à cause de cette confusion, les gens ne font plus la différence entre les homos et les emos !»
Quant à N. elle rétorque : « Si nous ne révélons pas notre identité à tout le monde, ce n’est pas parce que nous trouvons que c’est une honte. Mais plutôt parce que nous n’allons pas nous amuser à expliquer à tout le pays la différence entre les homos et les emos…»
Les emos, est-ce que ce mot vous dit quelque chose? Il s’agit du phénomène le plus médiatisé du moment en Egypte.
Les emos sont estimés à des Centaines de fidèles au Caire. Ils se rencontrent dans les endroits branchés comme les malls et les grands cafés. Et puisque l’émotion est leur principale philosophie, rien n’est plus important pour eux que leur vie et leurs propres souffrances.
En effet, leur manière d’exprimer leurs émotions est totalement étrange : Automutilation, blessures différentes sur tout le corps (généralement les parties cachées) etc., voici la façon avec laquelle les emos extériorisent leurs souffrances et problèmes personnels. Photo: droits réservés
Selon la majorité des psychologues, Ces personnes ne sont pas normales du tout. Si leur philosophie leur dicte de se martyriser pour oublier les peines du cœur, la science n’a pas pu confirmer ce faux constat.
Certainement, le phénomène des emos est importé de l’occident.
N. 26 ans révèle : « J’ai vécu en Angleterre pendant treize ans, tous mes amis étaient des emos et on a vécu normalement. Mais quand je suis venu en Egypte, J’ai cessé d’être emo à cause des commentaires déplacés des gens »
Toutefois, beaucoup de personnes croient que tous les emos sont des homosexuels puisque ce courant veut que les fidèles se rapprochent et se fient aux personnes du même sexe. Car souvent, la peine vient du sexe opposé. C’est ce qu’affirme S. 28 ans : « Cette fausse idée sur les emos, je dois dire quelle est irrationnelle. Au début, l’idée de se rapprocher de la personne qui appartient au même sexe que nous, faisait allusion à l’amitié. Après cela, beaucoup d’homosexuels sont devenus des emos. Maintenant, à cause de cette confusion, les gens ne font plus la différence entre les homos et les emos !»
Quant à N. elle rétorque : « Si nous ne révélons pas notre identité à tout le monde, ce n’est pas parce que nous trouvons que c’est une honte. Mais plutôt parce que nous n’allons pas nous amuser à expliquer à tout le pays la différence entre les homos et les emos…»
Maya Mohamed