Wednesday, 31 March 2010

A lire!

Quelques semaines après que Le Petit Journal du Caire m'a accordé une interview, les commentaires indésirables ne cessent de pleuvoir sur ma tête!!
Il y a certaines personnes qui n'ont pas aimé le fait que je parle de ce qui se passe en France. Et il y en a aussi qui pensent que je ne fait que rêver en disant que je voudrais devenir journaliste un jour. Hé bien je n'ai qu'une seule réponse à leur dire:
Si vous n'aimez pas mon blog, ne venez plus le consulter. Et puis, je suis curieuse de nature et c'est une qualité puisque j'en aurai besoin plus tard, si mon destin me cache une carrière de journaliste.
Bonne visite pour vous!

Monday, 22 March 2010

Une interview avec Nadia Hammouchi

voici une interview que je l'ai fait avec la grande journaliste Marocaine Nadia Hammouchi!

Est-ce qu’être journaliste à la télévision a toujours été votre rêve ou c’était seulement un gagne-pain pour vous ?

Le monde des médias a toujours bercé mon imaginaire, dès mon jeune âge. Mon modèle à l’époque, le fameux Tintin, le reporter audacieux, qui recherche la vérité, dénonce l’imposture, défend la démocratie et porte loin la voix des plus faibles.J’ai décidé de faire de ce rêve une réalité, une carrière. C’était possible, alors j’ai foncé. J’ai donc choisi l’Institut supérieur de l’Information et de la communication, pour un cursus de quatre ans. Et cela fait aujourd’hui plus de quatre que j’exerce ce métier, avec beaucoup de passion.

Nadia Hammouchi



-Quelle est la différence pour vous entre être journaliste à la télévision et l’être dans n’importe quel organe de presse ?

Un journaliste de la télévision fait parler l’image et en fait un langage comme les autres. Il fait du visuel son principal support. Le principal souci dans l’audiovisuel, c’est de garantir la meilleure utilisation possible des nombreuses possibilités qu’offre l’image. Le commentaire suit.

Dans un média télévisuel, le journaliste est certes rédacteur, mais se doit aussi de maîtriser tous les aspects techniques liés à la réalisation du reportage ; notamment le Montage.

Il n y a pas de bon « sujet » sans un bon texte, et sans un bon montage. Et puis il y a ; comme dans tous les organes de presse, tout un travail de recherche et de documentation en amont, avant d’aller en reportage. Ce qui se conçoit bien s’annonce clairement !

-Raconte-nous un aperçu sur tes années à l’ISIC.

Quatre ans de bonheur ! J’en garde de très bons souvenirs. Etant en effectif réduit (50 étudiants par promotion), l’ambiance était convivial, et les cours, plus faciles à assimiler. Les études ont concerné plusieurs branches : du Droit, aux langues, en passant par les Arts ou l’économie, en plus des matières de spécialité, la télévision, la radio, la presse écrite et la communication d’entreprise. Un cursus polyvalent, ponctué de stages.

L’ISIC restera aussi un espace propice au dialogue, au débat, à la libre expression et à la coexistence, entre des étudiants marocains, subsahariens, ou provenant des pays arabes.

-Vous les isiciennes (étudiantes de ISIC de Rabat), vous êtes comme Coca-Cola, vous êtes partout dans le monde, qu’avez-vous de si particulier ?

Un tas de choses !!

Beaucoup de patrons s’accordent à dire que nous nous intégrons vite et bien dans les différentes rédactions. Les cours pratiques à l’Institut nous ont, très tôt, mis dans le bain des rédactions.

Les Isiciens sont intègres, bien formés et évidemment dotés d’un grand sens de l’écoute et d’un remarquable esprit d’équipe. Tout pour plaire !! (Rires)

-2010, c’est l’année de la francophonie. Tu es francophone, es-tu francophile aussi ?

Francophone, Francophile, et Franchement, fière de l’être (rires) ! Les affinités géographiques et culturelles y sont pour beaucoup.

Friday, 19 March 2010

Société: Les emos au-delà des maux

Se martyriser le corps pour oublier les peines du cœur. Une philosophie qui ne laisse presque personne sans mots ni sans maux !

Les emos, est-ce que ce mot vous dit quelque chose? Il s’agit du phénomène le plus médiatisé du moment en Egypte.
Les emos sont estimés à des Centaines de fidèles au Caire. Ils se rencontrent dans les endroits branchés comme les malls et les grands cafés. Et puisque l’émotion est leur principale philosophie, rien n’est plus important pour eux que leur vie et leurs propres souffrances.
En effet, leur manière d’exprimer leurs émotions est totalement étrange : Automutilation, blessures différentes sur tout le corps (généralement les parties cachées) etc., voici la façon avec laquelle les emos extériorisent leurs souffrances et problèmes personnels. Photo: droits réservés
Selon la majorité des psychologues, Ces personnes ne sont pas normales du tout. Si leur philosophie leur dicte de se martyriser pour oublier les peines du cœur, la science n’a pas pu confirmer ce faux constat.
Certainement, le phénomène des emos est importé de l’occident.
N. 26 ans révèle : « J’ai vécu en Angleterre pendant treize ans, tous mes amis étaient des emos et on a vécu normalement. Mais quand je suis venu en Egypte, J’ai cessé d’être emo à cause des commentaires déplacés des gens »
Toutefois, beaucoup de personnes croient que tous les emos sont des homosexuels puisque ce courant veut que les fidèles se rapprochent et se fient aux personnes du même sexe. Car souvent, la peine vient du sexe opposé. C’est ce qu’affirme S. 28 ans : « Cette fausse idée sur les emos, je dois dire quelle est irrationnelle. Au début, l’idée de se rapprocher de la personne qui appartient au même sexe que nous, faisait allusion à l’amitié. Après cela, beaucoup d’homosexuels sont devenus des emos. Maintenant, à cause de cette confusion, les gens ne font plus la différence entre les homos et les emos !»
Quant à N. elle rétorque : « Si nous ne révélons pas notre identité à tout le monde, ce n’est pas parce que nous trouvons que c’est une honte. Mais plutôt parce que nous n’allons pas nous amuser à expliquer à tout le pays la différence entre les homos et les emos…»


Maya Mohamed

Sunday, 28 February 2010

Ah les hommes!

Les hommes aiment Ferrari et les femmes préfèrent PPDA!

Le divorce Sarko- Cécilia!

Un rappel pour les nostalgiques...